« La tâche des enseignants, ces obscurs soldats de la civilisation, est de donner au peuple les moyens intellectuels de se révolter. »
« Sans la règle de l’Un, il y aurait la lumière, il y aurait la vérité, il y aurait la justice. La règle de l'un est un crime. »
« Nous aimons avoir des agents provocateurs dans le parti, car ils proposent toujours les motions les plus révolutionnaires. »
« Aujourd'hui, allez vous épanouir à l'ombre des prisons sombres et tristes. Allez fleurir près du sombre captif, et dites-lui sincèrement que nous les aimons. Dites-leur que dans le temps qui passe, tout appartient à l'avenir, que le conquérant livide peut mourir plus sûrement que le vaincu. »
« Ce n’est pas une miette de pain, mais la récolte du monde entier dont le genre humain a besoin, sans exploiteurs et sans exploités. »
« Puisqu’il semble que tout cœur qui bat pour la liberté n’a droit qu’à une petite gorgée de plomb, j’exige ma part. Si vous me laissez vivre, je ne cesserai jamais de crier vengeance. »
« La révolution sera l’épanouissement de l’humanité comme l’amour est l’épanouissement du cœur. »
« Ce que je veux, c'est la révolution qui fera disparaître la pauvreté. Je salue la révolution, qui est inévitable, et j'espère qu'elle viendra bientôt pour apporter la liberté et l'égalité à ceux qui souffrent. »
« Je répète que je suis un prisonnier politique. Les poursuites, quoi qu’en dise le procureur général, sont politiques et rien d’autre. »
« Personne qui savait que le drapeau était constitué d'un morceau de tissu noir au bout d'un balai ne le croirait, et vous non plus, monsieur. Je voulais montrer que les ouvriers mouraient de faim et avaient besoin de travail. C'est le drapeau des grèves et des famines. »
« Chacun cherche sa voie, nous cherchons la nôtre et pensons que le jour où règneront la liberté et l’égalité, l’humanité sera heureuse. »
« Le pouvoir est maudit, c'est pour cela que je suis anarchiste. »